J’entendais les gouttes de pluies tombées sur la porte de l’animalerie. Il faisait bien sombre dans cet endroit, j’aurai bien aimée sortir de ma cage… j’étais tellement à l’étroit dedans. Un silence oppressant régnait dans ce lieu, rare étaient les personnes qui le brisait. Nous, les neko vivions dans une piètre hygiène, les seules fois où nous pouvions nous laver était malheureusement rare, c’était souvent aux périodes de fête, noël, pâque et autre… La nourriture était immonde. La plupart du temps, on mangeait du pains rassit. Aux périodes de fêtes, on mangeait des restes de poissons qui dans l’ensemble avait bon goût, mais pensée à ça me donnait l’eau a bouche et la douleur habituelle de la faim. Des sortes de miaulements montèrent des cages adjacentes à la mienne, tout comme moi, ils avaient faim. Les « miaulements » s’arrêtèrent immédiatement quand une personne obscure frappa dans les barreaux d’une cage, cette même personne regretta d’avoir frappé dans les barreaux car elle jura en tenant fermement son poignet. Je ne voyais que ses pieds, et d’après moi, cette personne étrange ne devait pas avoir de bonnes intentions envers moi et les autres, mieux valait se faire petit ! J’entendis quelqu’un aboyé des ordres.

« Toi là, va amener la nourriture à ces infâmes créatures ! »

Après quelque instant l’autre personnage répondit :

« Oui, chef j’y vais de ce pas ! »

Je soupirais, maintenant on nous appelait « infâmes créatures », géniale, quels surnoms inventeront-il la prochaine fois. La pluie s’intensifia, je frissonnais, le froid commençait à pénétrer la fine couverture qui nous avait été distribuée, un bruit attira mon attention, des roues de chariot apparurent dans mon chants de vision, on allait enfin avoir à manger, la douleur de mon ventre s’intensifia peu à peu, j’avais très faim. Une ration de pains secs tombât dans ma cage, je me jetais dessus avec avidité. Quand j’eue fini de manger ma ration de nourriture, je m’allongeais en position fœtus, et fermais les yeux attendant que le sommeil vienne me trouver. Quand j’arrivais enfin à m’endormir la cloche de l’entrée sonna.

/en cours/