~Les apparences sont souvent trompeuses~ 
Au premier regard, nous pouvons dire que ce néko est insignifiant, soumis... En faite, c'est tout le contraire. Pour commencer, Natsui est une personne très intelligente. Il peut également être provoqueur avec les humains et certains nékos qu'il aime faire souffrir. Ce néko ne parle que très peu, lorsque que c'est nécessaire. Natsuï peut se montrer très froid avec son entourage qui ne l'aime pas particulièrement. C'est quelqu'un de très possessif. Il est aussi très pessimiste. On ne peut pas dire que Natsuï ai beaucoup de qualités.
Sa principale pensée est l'Amour, il pense que c'est inutile et que ça ne sert à rien. Son seul véritable problème... Il n'aime pas voir quelqu'un pleurait devant lui, même si le néko est cruel, il ne supporte pas de voir des larmes coulées.

~La vie d'un humain n'est pas facile. Celle d'un néko l'est encore moins~ 
Je suis né dans une petite maison, dans un minuscule village, en plein milieu da la nuit. Cette nuit là, les orages était au rendez-vous. Après cette nuit, je ne vis plus ma mère. Je ne l'ai jamais connu, et je ne la connaîtrais sans doute jamais.
Des braves personnes s'occupèrent de moi quelques années. Un jeune couple, qui ne voulait pas me faire de mal. C'était bien ma chance. Six ans de ma vie passèrent dans une jolie maison, avec se couple. Six ans, quand ma vie bascula brutalement en l'espace de quelques jours.
Cette journée avait pourtant bien commencé, quand ma mère adoptive alla au course, sans me prévenir. En tant normal, j'aurais fait les courses avec elle. Deux heure passèrent, quand tout à coup, le téléphone sonna. Mon père adoptif décrocha. Je n'y prêta pas attention. Après un bref cri, le jeune homme parti de la maison, me laissant seul. Pendant quelques heures, je me retrouva seul. Je ne pensais qu'une chose aussi horrible allait se produire. Mon "père" rentra enfin chez nous. Il n'avait même pas prit la peine de me parler, quand il s'enferma à double tour dans son bureau. Quelques jours passèrent, et une odeur immonde se propagea dans toute la maison. Elle venait du bureau ou c'était enfermé le jeune homme. Après avoir fait mon sac, je partis de la maison. Je regarda à travers les vitres, pour voir le bureau. Mon "père" s'était bêtement suicidé. Je ne pleura même pas.
Onze ans passèrent depuis ce triste jour. Onze ans que je dors par ci par là, essayant de trouver à manger dans cette triste vie. Mais, qui viendra me sauver de cet enfer.